En réponse à :
Domagequle court_métrage laisse Tatazongo sans voie seule dans l’image pour clore cette séquence, même cela me laisse (avec son visage articulé dans le silence) comme une impréssion de naturalisme à la française façon 19ème, c’est à dire face à mes fatasmes de bon sauvage dans le musée de l’homme. Heureusement de ma langue alsascienne d’origine, je comprends"akutuk" sans que l’on me le traduise, de mémoire toute les route mène à R*h0M*