En réponse à :
Je ne pense pas, je ne cherche plus à comprendre ! Seulement, il faut que j’y travail ! J’exécute tous les jours la même tache, après avoir quitter ma table le matin, où je laisse l’auréole de mon litre de maté. Je me transporte & je me retrouve là ! Alors, le rythme de la fabrique me prend machinalement, je ne suis qu’une inconsciente chose où se produit une œuvre de construction, l’engrenage coopère par déférence successive. Se trouverai t-il qu’une seule impression fugace de l’existence dans cette tache soit la trace de mon temps de pose ? Je ne m’accorde pas cette pensée, car je ne connaît pas le (...)