Surpris de ne voire aucuns commentaires, je me permet donc de commenter un peu à ma façon. Le discours est souvant un non-sens à l’idée, lors que l’on désire trop l’objet de celui-ci comme un bien et non pas comme une action pensante dans sa propre contradiction, pour cela je vous propose de pointer celui-ci sur la 18ème minutes de la première partie, puis sur la fin des questions publics. D’abord considérons la pertinence du propos <nature...changement d'imaginaire...planet B>>, et voyons que l’on va vite remarquer l’inversions du sens lorsque l’on en vient à parler des rafineries ! Cela est fort interressant, car nous pouvons y voire clairement une dépendance réel donc une réalité, le cinéma à ceci d’exeptionnel qu’il est le seul à définir promptement sa propre réalité ; en travaillant comme un outil il peut trancher comme la pierre de l’homohabilis sachant chasser, ce que nous pauvres mortel désréalisés ne pouvons faire que dans nos éventuelles vue spirituelle, alors comment comprendre nôtre écologie comme differante de celle d’un pays tiers. Pouvons-nous comprendre nous-même nos propres contradictions par le génie du lieu "genius-logi" en nous extrayant de celui-ci par la simple rhétorique, ou doit t’on aller plus loin pour revenir ensuite sur l’analyse comme transgérationnelle dans l’empirisme de sa méthode dialectique avec les éléments du réel en dehors de leur aspect propre, soit une forme commune à la vie dans toute muabilité comprise comme discours. Ce discours non-dit peut-il être politique dans ses affirmations, ou doit-il simplement être compris comme témoignage du moment de transmission et situer celui qui le reçevoie dans le temps de l’action présente soit plus à-même de faire les analogies associatives necessaire au bon dévoleppement de son néocortex. De l’écologie comme une réactualisation des données environne-mentales, nous sommes l’ombre de nos imaginaires éclairée par le même soleil, et la nuit les étoiles réunissent nos nuits et les herbes folles du désirs de recréer nos ombres.